Les clefs, ça peut ouvrir des portes

mais aussi ça ferme, ça enferme, ça emprisonne, on est obligé de les avoir, toujours, ça anihile, ça inhibe, ça oblige, tout simplement

 

Tout est à pile et face, tout est à double sens, ce qui s'ouvre doit pouvoir se fermer et n'est pas toujours le bon sens celui qu'on croit...

Et puis bon par rapport à quoi ; la norme elle-même n'est pas absolue



Tout est là

Aux petit on explique que tout est absolu, le bien le mal les règles les joies les émotions les devoirs et les obligations
Aux grands, aux grandissant, on laisse comprendre peu à peu, on laisser deviner qu'il n'en est rien, rien,
Rien est absolu  

 

 

 

A chacun d'accepter
à chacun une fois qu'il a compris
à chacun de se reconstruire avec cette fragilité d'inabsolu après toute ce mirage de la solidité ; de choisir son absolu sans jamais perdre de vue que c'est le sien, et pas celui de l'autre qui a peut-être choisi autrement, qui n'a peut-être pas choisi, peut-être pas encore compris et qui en a le droit
Choisir en sachant que c'est son propre choix donc un choix différent, choisir dans la tolérance