Mercredi 14 mars 2007 à 15:11

Petit poème
tellement vrai, tellement pouffeur d'espoir

   Si tu es las et que la route te parait longue,
   si tu t'aperçois que tu t'es trompé de chemin
   ne te laisse pas couler au fil des jours et du temps
                                                    ...recommence

   Si la vie te semble trop absurde,
   si tu es déçu par trop de choses et de gens,
   ne cherche pas à comprendre pourquoi,
                                         ...recommence

   Si tu as essayé d'aimer et d'être utile,
   si tu as connu ta pauvreté et tes limites,
   ne laisse pas là une tâche à moitié faite
 
                                       ...recommence

   Si les autres te regardent avec reproche,
   s'ils sont déçus par toi, irrités,
   ne te révolte pas, ne leur demande rien,
                                          ...recommence

   Car l'arbre rebourgeonne en oubliant l'hiver,
   car le rameau fleurit sans demander pourquoi,
   car l'oiseau fait son nid sans songer à l'automne,
             ...car la vie est espoir et recommencement


Le droit à l'erreur, le droit de n'avoir pas trouvé, et donc de changer. De recommencer...
:o)

Vendredi 15 décembre 2006 à 19:52

 


                                       


Les clefs, ça peut ouvrir des portes

mais aussi ça ferme, ça enferme, ça emprisonne, on est obligé de les avoir, toujours, ça anihile, ça inhibe, ça oblige, tout simplement

 

Tout est à pile et face, tout est à double sens, ce qui s'ouvre doit pouvoir se fermer et n'est pas toujours le bon sens celui qu'on croit...

Et puis bon par rapport à quoi ; la norme elle-même n'est pas absolue



Tout est là

Aux petit on explique que tout est absolu, le bien le mal les règles les joies les émotions les devoirs et les obligations
Aux grands, aux grandissant, on laisse comprendre peu à peu, on laisser deviner qu'il n'en est rien, rien,
Rien est absolu  

 

 

 

A chacun d'accepter
à chacun une fois qu'il a compris
à chacun de se reconstruire avec cette fragilité d'inabsolu après toute ce mirage de la solidité ; de choisir son absolu sans jamais perdre de vue que c'est le sien, et pas celui de l'autre qui a peut-être choisi autrement, qui n'a peut-être pas choisi, peut-être pas encore compris et qui en a le droit
Choisir en sachant que c'est son propre choix donc un choix différent, choisir dans la tolérance

 

Vendredi 17 novembre 2006 à 19:06

Aurais-je oublié mon blog ... *

 

    
 

[...]


 

aucun désir manifeste, juste un automatisme guidé/blindé
un ça va ? aux yeux blasés
tu tends la joue, comme soumis
à quelque chose que j'ignore
Qui t'oblige… ?

                        
A quoi ?

                      

 

 


 

Le vent a balayé les nuages, et le soleil les a troués
d'où vient la luminosité ?

 

 

Lundi 16 octobre 2006 à 15:35

Peut-être que maintenant, je peux avancer un peu dans ce blog



 

Ce n'est pas moi
C'est l'image idéale
L'image devant laquelle je suis restée perplexe,  dubitative,  éparse,  les yeux ouverts  et la bouche  si close devant  ce portrait qui me parlait tellement, qui semblait me voir et m'interroger. Ce portrait que j'ai cru reconnaître
 mais qui serait-ce ?

Lundi 16 octobre 2006 à 15:19

A priori, rien de particulier aujourd'hui,
des cours des courbatures 
et puis quelques pages internet pour cette ouverture de blog impromptue ;
qui n'est peut-être pas une décision encore tout à fait prise

C'est drôle comme on peut faire les choses sans même l'avoir décidé...


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