Ma boîtàtrombones est pleine et commence même à déborder. Melle Moi me conseille de les relâcher dans la nature. Bof
J'ai repris un rythme veille-sommeil à peu près normal, lever matinal et coucher pas trop trop tardif. Probablement dû à un "retour" dans l'appartement parental. Tous les jours je m'assieds à une table avec des papiers et des articles et des tableaux et mon ordinateur. Mais je ne suis pas sûre d'avancer vraiment, ou alors à pas de fourmi.
L'été est là pourtant, un peu brusquement peut-être, mais j'aurai aimé avoir la tête libre, pouvoir m'éveiller entièrement dans la nuit et aller à la fenêtre voir l'orage éclater, au lieu de lutter pour l'endormissement. Prendre le temps d'en voir tous les éclairs, écouter intensément les grondements tonnereux et apprécier la pluie qui s'avance à travers la place. J'aurai aimé passer ma journée à lire tout ce qui me tombe sous la main, journaux, revues, bouquins qui traînent autour de moi et m'attendent depuis des mois. J'en ai acheté sur des coups de tête, que je me suis interdit de lire ensuite avant la fin de l'année ("scolaire"), d'autres passent quelque temps à la maison par le groupe-lecture de ma mère, puis repartent irrémédiablement me semble-t-il.
J'aurai aimé être libre d'errer, de dormir ou de partir. Voyager, ailleurs, voir et sentir. Mais il fallait s'en donner les moyens avant.
Qui dit début d'été dit anniversaire, je me décide au dernier moment à organiser quelque chose, ça tourne parfois à la farce mais je n'ai pas encore envie d'y mettre trop d'énergie. En famille la célébration est d'ores et déjà repoussée à l'autre bout de juillet, au moins, c'est ainsi depuis plusieurs années.
Je serai à Londres le 10 finalement, entre chant et cousins.
L'été est suspendu, des projets existent mais dépendent de l'avancement d'un travail que je ne sais dans quelle direction mener exactement.
L'été est incertain mais j'espère encore ne pas le gâcher.
J'ai repris un rythme veille-sommeil à peu près normal, lever matinal et coucher pas trop trop tardif. Probablement dû à un "retour" dans l'appartement parental. Tous les jours je m'assieds à une table avec des papiers et des articles et des tableaux et mon ordinateur. Mais je ne suis pas sûre d'avancer vraiment, ou alors à pas de fourmi.
L'été est là pourtant, un peu brusquement peut-être, mais j'aurai aimé avoir la tête libre, pouvoir m'éveiller entièrement dans la nuit et aller à la fenêtre voir l'orage éclater, au lieu de lutter pour l'endormissement. Prendre le temps d'en voir tous les éclairs, écouter intensément les grondements tonnereux et apprécier la pluie qui s'avance à travers la place. J'aurai aimé passer ma journée à lire tout ce qui me tombe sous la main, journaux, revues, bouquins qui traînent autour de moi et m'attendent depuis des mois. J'en ai acheté sur des coups de tête, que je me suis interdit de lire ensuite avant la fin de l'année ("scolaire"), d'autres passent quelque temps à la maison par le groupe-lecture de ma mère, puis repartent irrémédiablement me semble-t-il.
J'aurai aimé être libre d'errer, de dormir ou de partir. Voyager, ailleurs, voir et sentir. Mais il fallait s'en donner les moyens avant.
Qui dit début d'été dit anniversaire, je me décide au dernier moment à organiser quelque chose, ça tourne parfois à la farce mais je n'ai pas encore envie d'y mettre trop d'énergie. En famille la célébration est d'ores et déjà repoussée à l'autre bout de juillet, au moins, c'est ainsi depuis plusieurs années.
Je serai à Londres le 10 finalement, entre chant et cousins.
L'été est suspendu, des projets existent mais dépendent de l'avancement d'un travail que je ne sais dans quelle direction mener exactement.
L'été est incertain mais j'espère encore ne pas le gâcher.