2h passées apparemment.
Je n'ai pas vraiment sommeil mais je ne comprends plus grand chose à ce que je lis. Trop de pourcentages, la tournure des phrases insupportablement alambiquée pour être impersonnelle. Ecrire encore un peu. Faut-il refaire les graphiques ?
Le stress, le trac qui va et vient, oscille selon les bribes de conversations de visu, téléphoniques et mailesques qui me reviennent. Chacune a sa vision, me rassure ou me fait basculer, mais comment se situer par rapport aux autres
L'impression d'avoir passé l'été entier assise sur une chaise devant l'ordinateur. L'impression de ne plus avoir aucun vêtement à ma taille, d'être toute pâle, avec des boutons que le soleil n'a pu apaiser, d'avoir perpétuellement trop chaud, de manger bizarrement, et de ne toujours pas savoir comment ça va finir.
Je me demande bien comment ça va finir.
Ce que ça va faire quand ce sera finit.
Et comment ce sera après.
Je n'ai pas vraiment sommeil mais je ne comprends plus grand chose à ce que je lis. Trop de pourcentages, la tournure des phrases insupportablement alambiquée pour être impersonnelle. Ecrire encore un peu. Faut-il refaire les graphiques ?
Le stress, le trac qui va et vient, oscille selon les bribes de conversations de visu, téléphoniques et mailesques qui me reviennent. Chacune a sa vision, me rassure ou me fait basculer, mais comment se situer par rapport aux autres
L'impression d'avoir passé l'été entier assise sur une chaise devant l'ordinateur. L'impression de ne plus avoir aucun vêtement à ma taille, d'être toute pâle, avec des boutons que le soleil n'a pu apaiser, d'avoir perpétuellement trop chaud, de manger bizarrement, et de ne toujours pas savoir comment ça va finir.
Je me demande bien comment ça va finir.
Ce que ça va faire quand ce sera finit.
Et comment ce sera après.
Des bisous.