J'ai froid, à peu près tout le temps maintenant, mais je pense que c'est la fatigue. Il me reste UN devoir, un seul, et il est hors de question que j'arrive mardi chez le docteur-à-oreilles en n'ayant pas fini. Je suis une caricature de moi-même dans le retard là, c'est du niveau quand même hein. Et puis j'ai cet espèce de mal de ventre bien reconnaissable, de stress, de purée mais c'est bientôt fini ou zut.
Perdus :
Un porte-mine, volatilisé... peut-être laissé sur un gratuit avec sudoku en cours.
Des lunettes de soleil. J'ai voulu faire ma maline et les laisser pendouiller par une branche de la boucle de mon sac, ça marche pas en plein Paris ça.
Un dictionnaire. Ouais je sais je fais fort. J'ai réalisé en janvier que je n'avais pas (plus ?) le dictionnaire d'orthophonie sur mon étagère, et j'ai commencé à me demander si je l'avais jamais bien eu. Il me le semble tout de même, mais ni les talons de chèque, ni mes comptes vaguement tenus, ni même les échanges de mail pour les commandes groupées de bouquin avec la promo n'arrivent à m'en apporter une certitude certaine.
Timbres. rhâ merde je suis sûre que j'avais encore des timbres avec des jolis instrument de musique dessus, je me suis décidée à écrire à ma grand-mère ce qui arrive deux fois l'an... Ah si, ça y est, retrouvés après avoir retourné tout mon bureau et toutes les poches de tous les sacs de ma chambre. Purée, y'a des trombones PARTOUT !!
Kilos. Entre trois et quatre depuis le mariage de Goon, fin mai. Arrêter le grignotage c'est radical en fait. Vivement les soldes que j'aie de nouveau des futs à ma taille, ça devient pas possible. Même ma ceinture ne sert (serre) à rien.
Temps. vous croyez que je perds du temps là ?
Fracas
Plusieurs opéras. Quand je pense que je m'étais dit que ce blog me servirait à faire de beaux compte-rendus...
Les jeudis de l'Oulipo aussi, découverts cette année, avec une magnifique "vélo-lecture" de et par Paul Fournel le 10 juin dernier, dont j'ai manqué les dix premières minutes. La beauté des mots bien enfilés en collier, la légère mise en scène si adaptée, le plaisir gourmand de l'interprète, moment de bonheur absolu à écouter ça.
Et des projets encore pour les mots et la musique : Cyrano à la comédie française, aller faire la queue de dernière minute, un de ces soirs. Pelléas et Mélisande de Debussy, par curiosité, si je peux avoir une place. Parce que finalement j'ai beaucoup aimé la Walkyrie, où j'allais pour-voir et l'esprit dubitatif.
Et puis lire lire lire (et dormir), dès que j'aurai fini, pour le fracas des textes et des rêves.
Perdus :
Un porte-mine, volatilisé... peut-être laissé sur un gratuit avec sudoku en cours.
Des lunettes de soleil. J'ai voulu faire ma maline et les laisser pendouiller par une branche de la boucle de mon sac, ça marche pas en plein Paris ça.
Un dictionnaire. Ouais je sais je fais fort. J'ai réalisé en janvier que je n'avais pas (plus ?) le dictionnaire d'orthophonie sur mon étagère, et j'ai commencé à me demander si je l'avais jamais bien eu. Il me le semble tout de même, mais ni les talons de chèque, ni mes comptes vaguement tenus, ni même les échanges de mail pour les commandes groupées de bouquin avec la promo n'arrivent à m'en apporter une certitude certaine.
Timbres. rhâ merde je suis sûre que j'avais encore des timbres avec des jolis instrument de musique dessus, je me suis décidée à écrire à ma grand-mère ce qui arrive deux fois l'an... Ah si, ça y est, retrouvés après avoir retourné tout mon bureau et toutes les poches de tous les sacs de ma chambre. Purée, y'a des trombones PARTOUT !!
Kilos. Entre trois et quatre depuis le mariage de Goon, fin mai. Arrêter le grignotage c'est radical en fait. Vivement les soldes que j'aie de nouveau des futs à ma taille, ça devient pas possible. Même ma ceinture ne sert (serre) à rien.
Temps. vous croyez que je perds du temps là ?
Fracas
Plusieurs opéras. Quand je pense que je m'étais dit que ce blog me servirait à faire de beaux compte-rendus...
Les jeudis de l'Oulipo aussi, découverts cette année, avec une magnifique "vélo-lecture" de et par Paul Fournel le 10 juin dernier, dont j'ai manqué les dix premières minutes. La beauté des mots bien enfilés en collier, la légère mise en scène si adaptée, le plaisir gourmand de l'interprète, moment de bonheur absolu à écouter ça.
Et des projets encore pour les mots et la musique : Cyrano à la comédie française, aller faire la queue de dernière minute, un de ces soirs. Pelléas et Mélisande de Debussy, par curiosité, si je peux avoir une place. Parce que finalement j'ai beaucoup aimé la Walkyrie, où j'allais pour-voir et l'esprit dubitatif.
Et puis lire lire lire (et dormir), dès que j'aurai fini, pour le fracas des textes et des rêves.