Bon, pour contrebalancer la très jolie du billet précédent :
Je me suis longtemps demandé si l'arroi de la féminité était imposé aux femmes par les hommes, ou adopté par les femmes parce que tel était leur plaisir et leur instinct. Par "arroi", j'entends le parfum, le maquillage, la coiffure, la toilette, et jusqu'aux chaussures à hauts talons, paroxysme d'inconfort et de laideur.
J'ai été consternée. Mais mes parents pas, ce qui m'a amenée à découvrir qu'on peut être encore plus consterné que consterné. Surtout venant de ma maman, incarnation de la féminité telle que décrite ci-dessus dans tous ses attributs jusqu'au bout des ongles (ahah, voix lourde d'ironie moqueuse, rire jaune et humour noir aux dents). Mais euh, du coup, ça ne t'amène pas à reconsidérer ton appartenance au genre féminin non ? C'était méchant, je ne l'ai pas dit.
Pasque voyons c'est bien connu, les femmes ont un instinct génétiquement conçu pour vouloir se peinturlurer la face.
Allez, on relit Albert Jacquard pour se rassurer : puisque tout enfant, quel que soit son sexe, a un père et une mère, les gènes ont nécessairement la même fréquence dans les deux sexes.
Je me suis longtemps demandé si l'arroi de la féminité était imposé aux femmes par les hommes, ou adopté par les femmes parce que tel était leur plaisir et leur instinct. Par "arroi", j'entends le parfum, le maquillage, la coiffure, la toilette, et jusqu'aux chaussures à hauts talons, paroxysme d'inconfort et de laideur.
J'ai été consternée. Mais mes parents pas, ce qui m'a amenée à découvrir qu'on peut être encore plus consterné que consterné. Surtout venant de ma maman, incarnation de la féminité telle que décrite ci-dessus dans tous ses attributs jusqu'au bout des ongles (ahah, voix lourde d'ironie moqueuse, rire jaune et humour noir aux dents). Mais euh, du coup, ça ne t'amène pas à reconsidérer ton appartenance au genre féminin non ? C'était méchant, je ne l'ai pas dit.
Pasque voyons c'est bien connu, les femmes ont un instinct génétiquement conçu pour vouloir se peinturlurer la face.
Allez, on relit Albert Jacquard pour se rassurer : puisque tout enfant, quel que soit son sexe, a un père et une mère, les gènes ont nécessairement la même fréquence dans les deux sexes.