Plusieurs jours que je me couche à des heures indues et que je suis là, au milieu de la nuit, sans avoir vraiment sommeil.
D'habitude c'est dû à je ne sais quel état d'excitation et d'attente, ces jours-ci je ne vois rien.
J'ai fait un peu de psychanalyse sauvage avec quelqu'un d'inhabituel qui me connaît sous un autre angle et ma famille aussi, et qui m'a apporté des éléments nouveaux, je suis curieuse de voir ce qui sortira après décantation.
J'ai appris des choses étonnantes, agréables et désagréables, j'espère ne pas tout mélanger, tout oublier.
Des encouragements, à continuer, continuer à raconter tout ça et à y fouiller, même si c'est dur, mais parce que oui ça vaut le coup, même si parfois ça n'avance pas ai-je l'impression, et que je me demande quand est-ce qu'il faudra arrêter.
Des moments de panique sur la suite, le futur, le bientôt, le alors c'est ta dernière année...
Des moments d'enthousiasme intercalés, parfois trop brefs, pas assez consistants pour soulever le reste, mais qui me rassurent.
Mais de nouveau l'inquiétude, le ça ne démarre pas et ça va trop vite. Le je ne suis même pas foutue de me bouger pour ce qui me fait envie alors que tout est possible, en fait.
Et la flemme.
Plusieurs projets de billets, des brouillons qui fleurissent, et d'autres encore en esprit. Mais il faudrait se concentrer un peu, chercher quelques extraits pour que ça tienne, trop de travail tout ça.
Alors j'écris mes états d'âmes sans préambule, pour déverser quelque chose ici, parce que ça me fait plaisir mine de rien, d'écrire là, parce que j'ai découvert cet été que ça me manquait quand je ne le faisais pas, que ça m'était nécessaire parfois, que ça m'opprimait quand je ne pouvais pas.
Quatre ans (et une petite journée) après l'ouverture du blog, sentir que je l'investis de plus en plus. Et y voir un bon signe :o)
Le premier billet, parce que c'est toujours amusant de voir...
D'habitude c'est dû à je ne sais quel état d'excitation et d'attente, ces jours-ci je ne vois rien.
J'ai fait un peu de psychanalyse sauvage avec quelqu'un d'inhabituel qui me connaît sous un autre angle et ma famille aussi, et qui m'a apporté des éléments nouveaux, je suis curieuse de voir ce qui sortira après décantation.
J'ai appris des choses étonnantes, agréables et désagréables, j'espère ne pas tout mélanger, tout oublier.
Des encouragements, à continuer, continuer à raconter tout ça et à y fouiller, même si c'est dur, mais parce que oui ça vaut le coup, même si parfois ça n'avance pas ai-je l'impression, et que je me demande quand est-ce qu'il faudra arrêter.
Des moments de panique sur la suite, le futur, le bientôt, le alors c'est ta dernière année...
Des moments d'enthousiasme intercalés, parfois trop brefs, pas assez consistants pour soulever le reste, mais qui me rassurent.
Mais de nouveau l'inquiétude, le ça ne démarre pas et ça va trop vite. Le je ne suis même pas foutue de me bouger pour ce qui me fait envie alors que tout est possible, en fait.
Et la flemme.
Plusieurs projets de billets, des brouillons qui fleurissent, et d'autres encore en esprit. Mais il faudrait se concentrer un peu, chercher quelques extraits pour que ça tienne, trop de travail tout ça.
Alors j'écris mes états d'âmes sans préambule, pour déverser quelque chose ici, parce que ça me fait plaisir mine de rien, d'écrire là, parce que j'ai découvert cet été que ça me manquait quand je ne le faisais pas, que ça m'était nécessaire parfois, que ça m'opprimait quand je ne pouvais pas.
Quatre ans (et une petite journée) après l'ouverture du blog, sentir que je l'investis de plus en plus. Et y voir un bon signe :o)
Le premier billet, parce que c'est toujours amusant de voir...