Nous sommes encore début janvier, au tout début de l'année, le huitième jour.
Discussion avec un tiers qui fait ressortir la dernière hypothèse, celle qui ne me va pas du tout, mais qui expliquerait bien le "la question ne se pose pas comme ça". Pincement au coeur sur le coup. J'ai trop rêvé cette semaine encore, en sommeil et en éveil, beaucoup trop j'en suis presque horrifiée, comment est-ce que j'ose encore me laisser aller comme ça, c'est pourtant si dangereux. Bien plus, bien pire qu'un pincement au coeur finalement, un nouvel effondrement, et rien pour me rattraper.
J'avais complètement oublié le Paris-Carnet en sortant de la répet mercredi, et puis j'avais rendez-vous le lendemain à 8h30, ça ne me disait rien de sortir, mais je n'aurais pas dû aller voir les photos. C'est vrai alors, je voudrais empêcher les autres de vivre. Pas sans moi, attendez-moi, et encore tout ce qu'ils ont et que je n'ai pas.
Pitié mais pitié, juste un gars avec une gueule d'hypothétique pour m'enlacer doucement tendrement, 30 secondes dans ma vie je ne vous ferai plus chier après c'est promis, mais je vous en supplie laissez-moi ça quelques instants, ses bras tout autour de moi et son visage penché sur ma joue.
Les autres ne me touchez pas, n'approchez pas, n'essayez pas, les boulons sautent, à force de me griffer je finirai un jour mes ongles sur une autre peau que la mienne, sauvagement, haineusement.
Pourquoi ce n'est pas possible
Pourquoi c'est aussi douloureux
S'il-vous-plaît juste une fois
J'ai la mâchoire complètement crispée, la nuque les épaules, et les chevilles aussi, jusqu'aux orteils, je ne veux pas manger laissez-moi, non je ne sais pas quelle est la solution.
Tout ce bordel parce que j'essaye depuis 3 jours de faire sans les bonbons qu'on te donne quand on trouve que tu pleures trop. Reste dans la norme, tiens, prend ça, ça va te remettre dans le droit chemin.
Discussion avec un tiers qui fait ressortir la dernière hypothèse, celle qui ne me va pas du tout, mais qui expliquerait bien le "la question ne se pose pas comme ça". Pincement au coeur sur le coup. J'ai trop rêvé cette semaine encore, en sommeil et en éveil, beaucoup trop j'en suis presque horrifiée, comment est-ce que j'ose encore me laisser aller comme ça, c'est pourtant si dangereux. Bien plus, bien pire qu'un pincement au coeur finalement, un nouvel effondrement, et rien pour me rattraper.
J'avais complètement oublié le Paris-Carnet en sortant de la répet mercredi, et puis j'avais rendez-vous le lendemain à 8h30, ça ne me disait rien de sortir, mais je n'aurais pas dû aller voir les photos. C'est vrai alors, je voudrais empêcher les autres de vivre. Pas sans moi, attendez-moi, et encore tout ce qu'ils ont et que je n'ai pas.
Pitié mais pitié, juste un gars avec une gueule d'hypothétique pour m'enlacer doucement tendrement, 30 secondes dans ma vie je ne vous ferai plus chier après c'est promis, mais je vous en supplie laissez-moi ça quelques instants, ses bras tout autour de moi et son visage penché sur ma joue.
Les autres ne me touchez pas, n'approchez pas, n'essayez pas, les boulons sautent, à force de me griffer je finirai un jour mes ongles sur une autre peau que la mienne, sauvagement, haineusement.
Pourquoi ce n'est pas possible
Pourquoi c'est aussi douloureux
S'il-vous-plaît juste une fois
J'ai la mâchoire complètement crispée, la nuque les épaules, et les chevilles aussi, jusqu'aux orteils, je ne veux pas manger laissez-moi, non je ne sais pas quelle est la solution.
Tout ce bordel parce que j'essaye depuis 3 jours de faire sans les bonbons qu'on te donne quand on trouve que tu pleures trop. Reste dans la norme, tiens, prend ça, ça va te remettre dans le droit chemin.