Parfois - souvent - je cherche, tout à fait consciemment, à faire rire mon psy (ouais de temps en temps je dis mon-psy, ça fait lectrice de ELLE à qui tout appartient et qui a tout ce qu'il faut pour vivre à fond le monde moderne) ; par la manière ou la tournure ou le vocabulaire ou juste la mimique appliqué(e) à ce que je raconte. Parce que par les sujets c'est limité, je viens surtout pour me plaindre hein. Mais enfin j'aime bien, faire rire, c'est très important pour moi.
Et effectivement, il rit, ou tout comme.
Alors là alternative : soit je le fais vraiment rire. Et donc je l'aime bien, parce qu'il rit à mes blagues pourries, et c'est un sacré critère de sympathie.
Soit il SAIT qu'il doit rire à mes blagues pourries. Et ça, c'est-y quand même pas le nec plus ultra de l'intelligence clinique, des fois ?!
Bref, je le garde :D
Et effectivement, il rit, ou tout comme.
Alors là alternative : soit je le fais vraiment rire. Et donc je l'aime bien, parce qu'il rit à mes blagues pourries, et c'est un sacré critère de sympathie.
Soit il SAIT qu'il doit rire à mes blagues pourries. Et ça, c'est-y quand même pas le nec plus ultra de l'intelligence clinique, des fois ?!
Bref, je le garde :D